Bienvenue sur ce blog consacré à la S-F et aux musiques qui lui sont proches, ainsi qu'à mes textes et à tout ce qui touche au domaine de l'anticipation.
Eh oui, encore tout ce que j'aime. Des soucoupes volantes, des individus enlevés par des extraterrestres... et bien des surprises encore, dont ChristopheLee ayant abandonné Dracula pour les aventures futuristes... le tout servi en 1977.
Tout ! Les dialogues, l'intrigue, les costumes... je suis un indécrottable de Tarkovski (Stalker, Solaris, Le sacrifice...) ou encore d'Avalon, Le Monde la chair et le Diable et surtout (mais rien à voir !) du Prisonnier. Donc ce style de SF m'ennuie profondément. Par contre, je te remercie de me faire découvrir ces films que je ne connais point (pas de ma génération); j'y découvre des perles rares. Et que dire des épisodes de Twilight zone ? Un imaginaire puissant au service de nos écrits. Mais que veux-tu, ma préférence (et ma muse) se tournera toujours vers Ray, Owen ou Ghelderode.
Pour résumer, le genre de Starships Invasions ne m'apporte rien émotionnellement et intellectuellement. Et puis, Lee (et Cushing) seront à jamais gravés dans ma mémoire comme les représentants dignes de la Hammer... même si mon acteur fétiche reste Vincent Price.
Cela me semble bien pourrave, non ?
RépondreSupprimerÀ quel point de vue ?
RépondreSupprimerTout ! Les dialogues, l'intrigue, les costumes... je suis un indécrottable de Tarkovski (Stalker, Solaris, Le sacrifice...) ou encore d'Avalon, Le Monde la chair et le Diable et surtout (mais rien à voir !) du Prisonnier. Donc ce style de SF m'ennuie profondément. Par contre, je te remercie de me faire découvrir ces films que je ne connais point (pas de ma génération); j'y découvre des perles rares. Et que dire des épisodes de Twilight zone ? Un imaginaire puissant au service de nos écrits. Mais que veux-tu, ma préférence (et ma muse) se tournera toujours vers Ray, Owen ou Ghelderode.
RépondreSupprimerPour résumer, le genre de Starships Invasions ne m'apporte rien émotionnellement et intellectuellement. Et puis, Lee (et Cushing) seront à jamais gravés dans ma mémoire comme les représentants dignes de la Hammer... même si mon acteur fétiche reste Vincent Price.
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